L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à boire avec modération.
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Grands producteurs d’alcools, élaborés principalement à partir de riz, les Japonais découvrent pour la première fois le whiskey en 1853, lorsque débarque sur leurs rivages, la flotte du commodore américain Matthew Perry dans la baie de Tokyo. Dès la fin du XIX siècle, plusieurs sociétés nipponnes tentent de produire cet alcool, mais les premiers essais effectués à partir de riz ou de maïs, ne sont pas concluants.
La première distillerie ouvre pour le compte du groupe Suntory: Yamazaki, ouverte en 1924. En 1929, le 1er whisky japonais est commercialisé. Ce fut un échec car il était trop tourbé pour les japonais. Après avoir aidé à la création de Yamazaki, Masataka Taketsuru crée en 1934 sa propre société, Dainipponkaju (qui prendra le nom de Nikka en 1952). Il créé sa distillerie Yoichi sur l’île d'Hokkaidō en 1934. Contrairement aux whiskies écossais, qui ont une légère amertume en finale, les whiskies japonais bénéficient d'une note finale douce, moelleuse et suave.
En 1918, Masataka Taketsuru, fils d’une famille de producteurs de saké est recruté par la société Settsu Shuzo pour produire le premier whisky japonais. Chimiste de formation, le jeune homme décide de partir en Écosse, afin d’y découvrir les secrets de fabrication du whisky. Quelques mois après son arrivée, Taketsuru rencontre Rita Cowan dont il tombe amoureux. Rita deviendra son épouse mais aussi sa muse. Deux ans plus tard, le couple rentre au Japon. En 1922, Settsu Shuzo , son employeur, fait faillite à la suite du crash boursier. Taketsuru rejoint alors le groupe Kotobukiya, géant de la bière nipponne, rebaptisé plus tard Suntory, pour lequel il construit la première distillerie japonaise de whisky en 1924. Quelques années plus tard, Rita, sa plus grande inspiratrice l’encourage à réaliser son rêve : construire sa propre distillerie.
Grands producteurs d’alcools, élaborés principalement à partir de riz, les Japonais découvrent pour la première fois le whiskey en 1853, lorsque débarque sur leurs rivages, la flotte du commodore américain Matthew Perry dans la baie de Tokyo. Dès la fin du XIX siècle, plusieurs sociétés nipponnes tentent de produire cet alcool, mais les premiers essais effectués à partir de riz ou de maïs, ne sont pas concluants.
La première distillerie ouvre pour le compte du groupe Suntory: Yamazaki, ouverte en 1924. En 1929, le 1er whisky japonais est commercialisé. Ce fut un échec car il était trop tourbé pour les japonais. Après avoir aidé à la création de Yamazaki, Masataka Taketsuru crée en 1934 sa propre société, Dainipponkaju (qui prendra le nom de Nikka en 1952). Il créé sa distillerie Yoichi sur l’île d'Hokkaidō en 1934. Contrairement aux whiskies écossais, qui ont une légère amertume en finale, les whiskies japonais bénéficient d'une note finale douce, moelleuse et suave.
En 1918, Masataka Taketsuru, fils d’une famille de producteurs de saké est recruté par la société Settsu Shuzo pour produire le premier whisky japonais. Chimiste de formation, le jeune homme décide de partir en Écosse, afin d’y découvrir les secrets de fabrication du whisky. Quelques mois après son arrivée, Taketsuru rencontre Rita Cowan dont il tombe amoureux. Rita deviendra son épouse mais aussi sa muse. Deux ans plus tard, le couple rentre au Japon. En 1922, Settsu Shuzo , son employeur, fait faillite à la suite du crash boursier. Taketsuru rejoint alors le groupe Kotobukiya, géant de la bière nipponne, rebaptisé plus tard Suntory, pour lequel il construit la première distillerie japonaise de whisky en 1924. Quelques années plus tard, Rita, sa plus grande inspiratrice l’encourage à réaliser son rêve : construire sa propre distillerie.
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